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Inlassablement

images.jpeghttp://bit.ly/ La musique sensuelle et lancinante de Georges Delerue, ce générique qui signe l'amour du cinéma, le timbre de la voix de Michel Piccoli (Paul Javal), l'ingénuité légendaire de la diction de Brigitte Bardot (Camille), la mâchoire prédatrice et le regard mongol de Jack Palance, son Alfa Romeo rouge, l'escalier de la villa de Curzio Malaparte, le bleu de la Méditerranée à Capri, le texte désabusé d'Alberto Moravia, Il disprezzoFritz Lang himself, l'Odyssée, les fesses de B.B. bien sûr, les jeux de lumière de la scène culte, la tragique histoire d'un amour qui sombre et puis l'époque, mes parents, mon enfance... Inlassablement Le Mépris de Jean-Luc Godard (: un bien fou). Je t'... t..., t..., t...

 

Le cinéma, disait André Bazin, substitue à notre regard un monde qui s'accorde à nos désirs. Le Mépris est l'histoire de ce monde. JLG

Le manuscrit autographe du film, 59 pages écrites de la main de Godard (tous les autres sont des tapuscrits), vient d'être vendu aux enchères pour la somme record de 144.300€ chez Artcurial le 9 juin dernier. C'est un collectionneur français qui en a fait l'acquisition.

Commentaires

  • ...une question me hante ....ceux de cette époque.. ceux qui sont nos enfants... ceux qui sont enfants. ils se rappellerons de quelles fesses ?

  • Ah, tu me fais rire, Jean-Yves, et c'est bon... Oui, de quelles fesses? Telle est la vraie question.

  • J'étais insensible aux fesses de BB, c'est normal, je n'étais pas un garçon en pleine adolescence ! mais la musique du "Mépris" et celle du "Repos du guerrier" je m'en rappelle encore, j'étais beaucoup plus sensible au charme de Robert Hossein.

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