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Ciao Bello!


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Commentaires

  • dur dur ....

  • Comme vous dites toujours aussi sahariennement. De lui, outre sa virtuosité de guitariste, son compagnonnage jazz oulipien avec Vian et son dernier jardin d'Hiver, vous savez quoi, j'ai aussi dans mon souvenir d'enfant, ces facéties traversières comme il se travestissait à force éclats de rire, et la contagion de ces éclats-là, en personnages des fables de La fontaine...

  • pour ma part j'ai préféré le Salvador plus agé, moins clown, plus dans le suave; la douceur et cette joie de vivre lors d'interview, cachant peut etre d'autres désarrois...

    c'est ma mère qui est triste ce soir, elle l'adorait...

  • oui, j'en reviens toujours à ce magnifique Jardin d'hiver où pour le coup, le couple inédit Biolay ( depuis il a déçu)- Keren Ann ( elle toujours égale)lui offrait le genre de retour grâce à quoi il en terminait momentanément avec ses roucoulades "décalées" de crooneur sur le retour. Pour mémoire, il y eut ensuite une série de concert à l'Olympia où sa guitare free déjanté faillit mettre le feu au quartier...

  • J'ai toujours détesté ce type et ses rires forcés. Désolé...

  • Je ne pense pas que ses rires aient été forcés, aliscan (bravo pour vos "plafonds", au passage). Merci saharienne, merci benoît.

  • oui je viens de faire un détour du côté de vos haïkus et pour sur, aliscan je reviendrais braconner sur vos terres. pour le reste, c'est toujours pareil, ami si tu n'aime pas le pain de seigle et bien tant que tu n'en dégoûtes pas les autres...

  • J'adore le pain de seigle et il est incontestable qu'Henri Salvador avait beaucoup de talent !

  • puisuqe nous échangeon sur la musique française, je suis à la recherche depuis plusieurs années, d'une chanson qui parle d'amour sans engagement, mais d'un amour fort - que j'avais entend chanté par Héléna (soeur de Lio), en première partie de concert de Louis Chedid - je n'ai jamais trouvé cette chanson, pas sur l'album d'Héléna (très sympa soit dit en passant, un coté très bossa nova, doux, cool...) déduisant que peut etre il s'agissait d'une reprise... cela vous dit il quelque chose ?

  • Alors, alors, peut-être te faut-il aller voir sur ce magnifique album " d'un siècle à l'autre " ( sous titré mélodie Française) dont voici la note de présentation pour aller vite ( faut que je me sauve) et dont de toute façon je te, pardon je vous recommande chaudement l'écoute. allez c'est parti

    Emily Loizeau, Marie Modiano, Helena Noguerra ou Nilda Fernandez plongent dans les splendeurs de la mélodie française et chantent Gabriel Fauré, Erik Satie ou Reynaldo Hahn.
    Dans les salons cultivés de la France qui se relève de la défaite de 1870, on pose sur les pianos des partitions aux apparences de simplicité dépouillée, sur lesquelles les dames chantent des poèmes de Sully Prudhomme, de Théophile Gautier, de Paul Verlaine : "Le long du quai les grands vaisseaux/Que la houle incline en silence/Ne prennent pas garde aux berceaux/Que la main des femmes balance", "Avril est de retour/La première des roses/De ses lèvres mi-closes/Rit aux premiers beaux jours", "Le ciel est par-dessus le toit, si bleu si calme/Un arbre par-dessus le toit berce sa palme"… On entend maintenant ces vers chantés par Pascale Baehrel de Dorval, par Emily Loizeau, par Juliette Paquereau de Diving With Andy. Avec l’album D’un siècle à l’autre, une génération de chanteurs français s’aventure dans un répertoire que l’on ne connait guère aujourd’hui que par des voix lyriques.

    et voilà...

  • quel est le nom du dit album ?

  • D'un siècle à l'autre ( mélodies françaises) même si tu n'y trouves pas ton bonheur, il vaut le détour. enfin après les goûts et les couleurs...

  • Mourir à 90 ans d'une rupture d'anévrisme, c'est quand même une belle mort...
    C'est vrai que, tué par un mari jaloux au même âge, c'est encore plus beau!

  • Et si l'on accusait le coup au milieu de toutes ces incidences ainsi donc en sirotant Syracuse...

  • Super papier de Veroniquue Mortaigne dans le Monde de Vendredi où l'on apprend entre autres détails bio et discographiques, Ses rencontres décisives avec Bernard Dimey ( poète mort d'incompréhension, je reviens de La Butte ( ne me secouez pas disait Callet car je suis plein de larmes) où jadis un troquet, aujourd'hui boboisé hélas à l'instar du tout paris qui tendrait à se rétrécir sur cette espèce de quant à soi petit-bourgeois en triste voie de réapparition et le vivre ensemble dans tout ça..; où un troquet des abbesses portait son nom) lequel Dimey, avant de vider le frigo du Salvador, lance chancelant " on va écrire la plus belle chanson du monde...je vais t'écrire les plus belles paroles du monde"une nuit d'insomnie plus tard, Syracuse vera le jour...et tout ça pour dire quoi... Qu'il faut lire et acheter la presse qui va comme elle peut en dépit des attaques répétées, remplies d'un populisme immonde, orchestrées par ce self made man pas fini de de Nabot 1er, et sa clique d'affranchis au premier rang desquels Rama Yade s'est dernièrement fendu d'un " clique de charognards"...après le fameux discours sur les chiens de Mitterrand, manquait plus que ça en guise de point de rurupture....Sale époque. Il toujours temps de revoir Syracuse...

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