Reprendre Lalanne conduit à Blondin
C'était inévitable. Reprendre les livres (*) de Denis Lalanne (qui a quitté ce monde, à Anglet, il y a deux jours), afin de retrouver sa verve, son talent de raconteur d'histoires, c'était glisser inexorablement vers les livres d'Antoine Blondin, dont il fut l'ami. Et, cherchant une phrase célèbre, j'ouvrais L'humeur vagabonde à la dernière page. Publié en 1955, le livre n'a pas pris une ride. Et sa chute nous transporte, en faisant étrangement écho à l'atmosphère sociale de cette fin de semaine... L.M.
(*) Mais où ai-je bien pu mettre Le Grand Combat du XV de France, et Rue du Bac?..
Commentaires
3 lignes plus haut, l'écho réverbère encore plus, à mon sens...
Comme en montagne, l'écho est question de position (et donc de point de vue...).
Pas faux. D'ailleurs, j'ajoute le texte illico.