Coatalem via Segalen
Reçu ce matin le nouveau roman d'un auteur que j'aime vraiment : Jean-Luc Coatalem (Le dernier roi d'Angkor, Grasset).
Avant d'y entrer, je trouve ceci en exergue, qui m'évoque un mot fameux de Montaigne : Je réponds ordinairement à ceux qui me demandent raison de mes voyages, que je sais bien ce que je fuis et non pas ce que je cherche.
Tout semble concentré, et dit, ou presque, dans cette phrase de Segalen :
On fit comme toujours un voyage au loin de ce qui n'était qu'un voyage au fond de soi. Victor Segalen
Je reviendrai parler du Dernier roi d'Angkor.
Commentaires
Et pourvu, comme aurait pu dire Bouvier, que le voyage qu'on va faire nous défasse...
BIEN VU BOUVIER! MERCI BENOÎT, DE NOUS RAPPELER AINSI QUE LE PRINCE DES TRAVEL-WRITERS AVAIT L'USAGE DE LA FORMULE EN PLUS DE CELUI DU MONDE...