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Bashung

Même lorsqu'il reprend un inoxydable de Cohen (Suzanne, ci-jointe), ou bien un Manset inaltérable (Il voyage en solitaire), le dernier cd de Bashung, Bleu pétrole, est splendide.


podcast
 

Commentaires

  • petite question en passant est-ce toujours l'immense Fauque qui lui écrit le reste de ses textes?

  • Non, là c'est surtout un certain Gaetan Roussel.

  • ah ben merci..c'est très bien aussi. c'est juste que je suis un fan absolu des textes de Fauque. ah ses jeux de mots recherchés, ses mots qui sonnent et ces images qui sortent du son " la nuit je mens " et puis tout fantaisie militaire , teins, un bijou ( la lièvre court sa race.... )

    Ps: mais, dites moi tant que je vous tiens ( par la barbichette) avec votre nouvelle photo, un cliché pareil cheveu mouillé-tout juste sortis de l'eau , et là plaqué lascifs vers l'arrière, et puis ce caressage, l'air ne pas y toucher, de lombarde incandescente, un geste vif argent, avec autant d'intensité vous allez manquer foutre le feu à la blogosphère. dites voir cher Ruy- senor, quiere ( sorry for my spanish) seducir ou qué?

  • Je ne connais pas Fauque. Je me renseignerai donc. Sinon, la photo, prise par mon ex, je viens de tomber dessus, alors je l'ai collée, comme çà, pour changer. Seducere? Of course, amigo! Faites passer les Marylin!...

  • oui Gaetan Roussel vous disais-je on aime aussi...quand même c'est l'âme des Louise Attaque...

  • Ah oui... Je ne savais pas. Chapeau bas. En effet, je crois qu'il a participé à l'album de Bashung, je vérifierai. Merci

  • petite intrusion dans l'univers du grand fan d'Artaud qu'est Bashung (il n'écrit pas ses textes, dans son humilité d'interprète, et préfère de beaucoup s'absorber dans la poésie des autres) juste pour évoquer le très grand "Des roses et des orties", dernier opus appelé à marcher fort de l'unique grand folk singer fançais, Francis Cabrel...

  • Cabrel! La cabane-dupééééécheuuur-au fooond-du-jardiiiin!. Non? C'est moins mièvre et marshmallow passé au micro-ondes qu'avant?.. Hay que verifiar, Caramba!

  • c'est de la chanson...de la vraie qui s'écoute dignement en faisant ses courses, en buvant son café...de la chanson toute simple, oui la chanson parfois peut assumer sa mièvrerie, tout simplement parce que son auteur ne pose pas absolument à L'Artiste. c'est comme pour les petits films ( voir le libé blog de Waintrop cinoque) de celles qui disent le quotidien ( le déjeuner en paix d'Eicher ( texte à la carver façon Djian) pourtant chiant le reste du temps je vous l'accorde) le quotidien dissonant à coups d'assonances. Un art majeur, je persiste et signe. Et m'est avis, que y'a beaucoup plus de Cash et de Dylan dans Cabrel qu'on ne veut bien l'admettre. Même et justement jusque dans ce côté écolo-réac...en plus les textes ici coulent tout seul,come à l'ordinaire ça a l'air ( et l'échanson) de ronronner au diesel comme un vieux pick up tout brinqueballant alors que ( ma place dans le traffic ancien titre est digne du zim je le redis) tout en faisant sens...après bien sur autant on peut discuter Goût et douleurs, autant on ne peut pas en disputer, comme disait mon vieux prof de philo...et c'est vrai que sa voix de nez un peu geignarde peut faire qu'on n'ait pas envie de s'attarder sur les terres du rastafarien d'Astaffort...épizootie et pis c'est tout...pas grave

  • pour en terminer avec ma marotte cabrelienne, je reprendrais la formule de François Bon " cet art poussé des assonances dans le concret du quotidien", laquelle , il me semble, suffit aussi à définir cet art popu qu'est la chanson.

  • Complètement d'acord, Benoît. D'ailleurs j'aime certaines chansons du petit d'Astaffort. Mais depuis sa "Corrida", il me gonfle un peu. Bon, je vais écouter son dernier CD.
    Continuez de nous écire des "post" aussi enrichissants! Merci

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