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Relire Blondin

medium_blond29642.jpgA la faveur d'un hors-série "Rugby" que je conconcte entièrement en ce moment (Coupe du Monde oblige) pour VSD, je relis Antoine Blondin avec un bonheur intact. Les enfants du bon Dieu, par exemple. C'est son second roman et il reparaît cette semaine dans La Petite Vermillon, la collection de poche de La Table ronde. Alain Cresciucci, biographe de Blondin, rappelle ceci dans sa préface, à propos de la petite musique d'Antoine : Roger Nimier parlait de "blondinisme" dont il avait tiré le verbe "blondiner" : "Façon d'entrer dans le monde en utilisant son coeur comme ouvre-boîte". Voici de quoi faire chavirer les plus rétifs et tous ceux qui ne sont encore jamais entrés chez Monsieur Jadis, qui n'ont jamais aperçu Un Singe en hiver, mais qui possèdent une Humeur vagabonde... J'en profite pour signaler (également dans la Petite Vermillon) la reprise du premier livre de mon ami Olivier Frébourg : Roger Nimier, trafiquant d'insolence. C'est brillant, nerveux, ça claque. C'est de la vitamine effervescente.

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