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juste pour le plaisir de fermer les yeux et de retrouver le souvenir de cette scène, dans le film d'Almodovar, le travelling, la déco et l'emocion un poil bobo (on pardonne), ce pourquoi le son seul, comme au bon vieux temps du poste à galène, est ici offert sans le recours à l'image, cette mère maquerelle de notre mémoire, cette paresseuse qui envoûte notre bonne volonté, cette économiseuse de nos regards aigus...

Commentaires

  • Le souvenir est bien vivant.
    Plus récent dans le dernier Woody Allen une scène comparable avec Pacco di Lucia...(m'a-t-il semblé).
    Merci pour l'évocation...

  • Exact. Et il s'agit d'un extrait de l'album "Entre dos aguas" de Paco. Mais... (je trouve) moins émouvant chez Woody que chez Pedro. J'y ai pensé aussi, en voyant "Vicky... Barcelona" (magnifique film qui m'a réconcilié avec Allen, après 4 ou 5 ans de rejet). Merci de cette salutaire remarque.

  • Oui de ton avis au sujet de l'émotion qui submerge à la revoyure du film d'Almodovar. D'ailleurs le concernant, un peu le même constat que toi et ton rapport aux derniers woody, qu'à partir de todo sobre mi madre ( la scène en extérieur nuit dans Barcelonne sur fond de Tajabone par Ismael Lo ( le Dylan africain) mes avants bras en frisonnent encore. Et le reste de la bo signée Alberto iglésias ( condansé de Nino Rota et consensus à la Bernard Hermann) c'est à partir de là que son cinéma m'a paru nettement plus profond, moins movida -kitsch. Plus classique en somme. Pour Woody, certes les récents tellement moins brooklyn boggien, mais déjà dès "Match point" ( Un peu beaucoup de Hitch' et ce je ne sais quoi de Douglas Sirk) où sa cam' se fait aussi sensuelle, ne lui en déplaise ( il déteste ce film soit disant) que lors des séquences de Manhattan ( je sais plus l'écrire)...

  • tout à fait d'accord, il n'y a pas chez Woody l'émotion qu'on a connu chez Almodovar.
    Moi non plus je n'avais pas aimé la dernière série de Woody Allen.
    On retrouve sa vitalité et sa fantaisie impertinente.

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