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toujours intérressant de suivre vos pistes cyclades...
la pédale grecque : mythe ou réalité?
je ne sais...en revanche je dois toujours avoir, remisé par de vers moi dans quelque carton à chaussures, tel étrange cliché pris par amour de ma vie ( nous sommes partis là-bas, Santorin, Paros il y a... sept ans...putain que ça passe!!) bref tel cliché d'une chaîne de magazin qui s'appelait " Nick the Greek" alors bon...
oui, bon, nicolas le grec, çà change de zorba (et de georges!)
Georges? on parle bien du gars tristement Clooneysque à cause de quoi nos plastiques actent par force ( aveu de faiblesse?) de leur côté hectoplasmique
Le même que j'ai choisi pour me clo(o)ner physiquement en haut et à gauche de la page d'accueil de ce blog, car j'ai trop mangé de pasta en Italie... Aors en attendant, j'ai affiché le Georges. What else?..
nothing dans mon home swet d'hillbilly elliot...ah si, plusieurs propres viouzes qui se télescopent depuis mes pyrénnées ariègoises...vers ce tout là-bas dont les forêts épaisses me manquent. déjà. pensées nées de plusieurs assoces d'idées malfaitrices. rien qu'à cause de la relecture "du chien qui voulait me manger" d'Alina Reyes, a resurgi une phrase qu'elle avait dite au détour de je en sais plus quelle interview...à propos de la bêtise empreint du parisianisme le plus crasse, qui consiste à persiter dans la réintroduction imbécile de l'ours dans un passage d'où il ( ou on, bref la vie "moderne" quoi) s( l)'était effacé... et Paros dans tout ça? Mettons un retour par la bande d'une afféterie de cafétéria
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toujours intérressant de suivre vos pistes cyclades...
la pédale grecque : mythe ou réalité?
je ne sais...en revanche je dois toujours avoir, remisé par de vers moi dans quelque carton à chaussures, tel étrange cliché pris par amour de ma vie ( nous sommes partis là-bas, Santorin, Paros il y a... sept ans...putain que ça passe!!) bref tel cliché d'une chaîne de magazin qui s'appelait " Nick the Greek" alors bon...
oui, bon, nicolas le grec, çà change de zorba (et de georges!)
Georges? on parle bien du gars tristement Clooneysque à cause de quoi nos plastiques actent par force ( aveu de faiblesse?) de leur côté hectoplasmique
Le même que j'ai choisi pour me clo(o)ner physiquement en haut et à gauche de la page d'accueil de ce blog, car j'ai trop mangé de pasta en Italie... Aors en attendant, j'ai affiché le Georges. What else?..
nothing dans mon home swet d'hillbilly elliot...ah si, plusieurs propres viouzes qui se télescopent depuis mes pyrénnées ariègoises...vers ce tout là-bas dont les forêts épaisses me manquent. déjà. pensées nées de plusieurs assoces d'idées malfaitrices. rien qu'à cause de la relecture "du chien qui voulait me manger" d'Alina Reyes, a resurgi une phrase qu'elle avait dite au détour de je en sais plus quelle interview...à propos de la bêtise empreint du parisianisme le plus crasse, qui consiste à persiter dans la réintroduction imbécile de l'ours dans un passage d'où il ( ou on, bref la vie "moderne" quoi) s( l)'était effacé... et Paros dans tout ça? Mettons un retour par la bande d'une afféterie de cafétéria