coup d'oeil aux stats
Ca va, ça vient, chaque jour apporte son lot de musardeurs, mais quasiment pas d'acteurs.
Exemple : le 12 septembre
262 visiteurs uniques
2762 pages consultées
Et...
Pas un seul commentaire déposé.
Alors, je m'interroge, à nouveau, sur le bien fondé d'un blog (comme celui-ci).
Le(a) fermer est peut-être la solution.
Commentaires
Mais non Léon ne surtout pas le fermer-la fermer...et c'est moi qui te dis ça...d'une part parce que j'aime beaucoup son nouvel habillage et puis toujours autant le reste....vrai de vrai...
On se pose tous cette question Léon. Mais effectivement, même si je viens toujours te visiter, cela fait un moment que je n'ai pas laissé de commentaire. Quelquefois(voire souvent...) ma culture atrophiée ne me permet pas l'usage de mon clavier...En revanche j'apprends en te lisant, c'est déjà pas si mal!
Promis! je l'ouvrirai plus souvent, quitte à dire quelques âneries...
Vrai question. Qu'est-ce qu'un blog ? Un espace d'expression, tout d'abord, pour celui qui l'ouvre et qui a envie de dire des choses. Un espace de lecture, de découvertes, pour celui qui clique dessus. Et ensuite, ensuite seulement, un espace d'échange(s). Mais pour cela jouer à hauteur. Choisir le bon intervalle, comme au rugby. A celui qui s'échappait trop vite et trop loin ses partenaires disaient "attends-nous!". Pareil pour toi, Kally. je sais que tu viens visiter la Comme fou mais laisse rarement un post. Qu'importe. L'important c'est de surfer, pas de laisser sa trace sur la vague. Non ?
Merci les amis! (Benoît, Pierrot, Richard -comme fou). Comme fou a raison : je musarde moi aussi sans intervenir, et j'ai le culot de me plaindre ici! Il me faut apprendre l'interaction. J'en parlais hier soir avec ficelle (Sophie Poirier) : il suffit de surfer sur la blogosphère, de déposer des posts, pour générer aussitôt un flux chez soi (input-output! ziva-feedback! : élémentaire mon cher Ouatson...). Je vous embrasse depuis un café, place Camille-Jullian, dans le Vieux (et si beau) Bordeaux.
Léon, et puis, et puis, nos potes Benoit et Christian (Pierrot la Tombal) apportent eux aussi un éclairage interessant.
Benoit a fermé le sien de blog. Y'a pas longtemps. Il a pris un raffut terrible, un truc à la Chabal façon "t'as pas interet"... C'est donc un réflexe naturel après, disons deux ou trois ans de bons et loyaux messages. Une sorte de réflexion, un recyclage. Un reset, diraient les puristes de l'azerty.
Quant à Christian-Pierrot, ce qu'il écrit touche : ton niveau d'excellence, la qualité de tes textes sur le blog, ta culture générale, la pertinence de tes avis, la fréquence de tes messages, tout cela fait que je, que nous venons glaner, récolter mais rarement semer, de peur d'interrompre une pensée que l'on sent intime, personnelle.
Ton blog, Léon, n'est pas un lien d'échange(s) au sens premier du terme, il est davantage de partage. Nous te lisons comme si nous t'écoutions. J'ai le souvenir de textes où tu nous parlais de ce que tu allais préparer à dîner, du cigare qui t'attendait, de la lecture de l'aprèm. Du coucher de soleil à Socoa...
Voilà.
Comme si nous étions là, pas loin, à côté.
Qu'ajouter alors ?
262 visiteurs, dis-tu ? En une journée. Oh, c'est un village, ça, Léon. Ton village. On peut se croiser sans être obligé de se faire la conversation...
Quand tu parles de Gracq, par exemple, franchement, tu veux que j'ajoute quoi, dis ? Qu'il m'a laissé à moi trois petits mots manuscrits de trois lignes sur une carte de visite pour me remercier de lui avoir envoyé mon livre d'entretiens avec Rives et décliner mon invitation à échanger épislotairement avec lui ? Tu déconnes ou quoi ?
Parfois, tu joues dans le Super 14 et nous sommes quelques uns à disputer le championnat de troisième série. On y passe un ballon de forme identique mais pas vraiment dans le même jeu.
Dans le même je.
Abrazo.
Tu exagères Richard, et en plus tu me fous la honte! C'est vrai que Christian touche juste, que j'aime toujours autant la finesse de ses prises de parole, et que le Benoît il avait intérêt à remettre son rugbymane en selle fissa, parce que sinon il se prenait une bouffe. Sûr, oui! L'idée du village et de la causette facultative au bistro ou sur la place, sous le grand platane, est bonne. Et je suis comblé lorsqu'on se rend compte que ce blog, depuis son ouverture, n'a d'autre vertu que celle du partage. J'aime ça fondamentalement. Mais justement, le partage... Un abrazo para todos...
Il a raison "comme fou", on peut aimer aussi juste écouter (lire) quelquefois…
Hein? Quoi ? Comment?