MM
Certaines blondes me font chavirer. Pas vous?
(Marilyn Monroe, La Dernière séance, photo de Bert Stern, Musée Maillol)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Certaines blondes me font chavirer. Pas vous?
(Marilyn Monroe, La Dernière séance, photo de Bert Stern, Musée Maillol)
Commentaires
superbe, mais il n'y a même pas besoin des fesses. Un drap dessus aurait encore plus suscité le désir et augmenté une forme de beauté...
c'eût été nous fourrer dans de bien jolis draps...
Mais vous êtes désespérants!!!
Je propose à votre réflexion une question sérieuse : ECRIRE EN CONFIANCE, façon plat du jour amoureusement mijoté et délicatement mitonné toute la nuit de dimanche à lundi, et vous vous attardez au buisson de crevettes mayo! C'est comme pour la mascarade de nabot Ier en Inde : on n'y chuchotait pas "contrats ou pas contrats?" mais seulement "carla or not carla?". Misère de cette époque star'acée...
Cela dit, j'adore cette photo de Stern, qui me fait réellement chavirer. Tu as raison sur le... fond, Saharienne, mais bon... Et Benoît nous fait toujours autant rire. Viva la vida!
nan mais ho, tu nous plantes son fessier arrondi, nous en fait commentaire alors on réagit ! s'il s'agissait de l'autre sujet en dernier dont il fallait parler, il fallait le laisser seul ce sujet.
Demanderai-je de l'eau en regardant le pot de mayonnaise sans dire un mot, que tu comprendrais ?
Bien vu saharienne! Tu m'auras permis de rigoler.
Un jour, le Caillou-Foucault a écrit comme maxime: "La vie humaine c'est du pain grillé... trop grillé... du pain..."
Désolé...
entre ta mayo, Saharienne et ton pain grillé, TiBo, je commence à avoir faim... de blonde. (easy, je sais, je sais)
comment se fesse que la vie humaine se mette à vous faire blondiner à propos d'un cliché du fruit amer? cul et cui se fendraient-lls un peu de la même façon?
non, y'a juste que j'ai perdu une brune en route, voilà!..
bah! une de perdue c'est...une de perdue...
Une? ou La?... voilà le vrai problème. C'est marrant comme elles peuvent disparaître tout d'un coup ces brunes...
"L'amoureux qui n'oublie pas quelquefois meurt par excès, fatigue et tension de mémoire." Roland Barthes
Couchée sur son lit, un soleil éclatant éclairé le ciel de ses reins. Sa peau disparaissait à l'horizon de sa couche. Et moi, pauvre lune, j'attendais fébrilement la nuit, pour m'étendre sur ce paysage....
Cette phrase de Barthes m'a souvent fait trembler, TiBo. Je la connais, elle figure dans ses fameux "Fragments d'un discours amoureux", bréviaire empoisonnant mais irrésistible, auquel on retourne toujours (comme on a recours à l'aspirine en cas de migraine) lorsque notre coeur se trouve déchiré par les tessons de la vie. Alors La, Une... Je ne répondrai pas, ici, ce soir, à cette question. Mais bon sang, c'est vrai, quand même, qu'elles ont le chic, les brunes, pour -pop!- disparaitre comme çà. Et réapparaitre aussi. Parfois. Moi, je n'abdiquerai pas. D'ailleurs (coïncidence) mon Itunes m'offre là, pile-poil, "Don't give up" de Peter Gabriel (en duo avec je ne sais plus quelle femme)...
Une de perdue, dites-vous Benoît. Oui. Mais "l'Unique EST sa propriété", dirais-je en paraphrasant avec un humour qui vous caractérise, un apôtre célèbre de l'anarchisme; Max Stirner. Mais passons...
Cher Pierrot la tombal, votre phrase, cette image, sont insolentes de beauté et de sensualité. Elles mêlent plusieurs de mes dernières notes : la photo de Marilyn et la réflexion de Gracq. Voire celle de Spinoza. Avant tout, la poésie qui s'en exhale fortifie ce blog, côté commentaires. Et je m'en réjouis. Donc merci.
Il s'agit de Kate Bush...la femme au duo... et la brune ?
Yep! C'est bien Kate Bush. J'ai vérifié sur le cd. Une vraie brune. Merci...
et tu doutes de ma réponse ? Merci....
Oups... La Saharienne est susceptible : c'est de ma faute, j'ai oublié d'écrire j'AVAIS vérifié... (de rien).
Jene mêlerai pas de vos références littéraires ô combien grandes... par contre en musique je commence à me "défendre" et cet air si entendu, je m'en souviens encore...
Susceptibe quand meme de nature, je l'avoue...
oh je vois qu'en matière pop musicale on a aussi des lettres...Kate Bush et sa voix mouillée ont liquéfié quelques mâles innocences...et tout ce ci se passait sous certain manteau de corback quelque part au siècle dernier... Il y avait notamment cet album magnifique " The Red Shoes", en hommage au film éponyme de Michael Powel avec la voix de Lilian Gish en intro sur ceMorceau, ah comment était-ce...dites-nous donc un peu ça saharement... Lilly je crois bien...La bouche de Feist exhume quelquefois le timbre délicat de la Kate...La nostalgie n'est -elle qu'une forme élégante de gâtisme?
Je suis très heureux extrêmement heureux trouver ce site .
Je voulais à vous remercier pour votre pour ceux time juste pour cette fantastique lire! J'ai vraiment apprécié Aimée peu et i ont également vous signet à regarder choses dans votre site web .