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Deux avril(s)

"La révolution se lèvera avec le soleil, camarade!", m'a soufflé (dans les bronches, un peu), mon ami Olivier.
L'amitié se mesure à l'aune de ces coups d'aiguillon-là.
Lève-toi, garçon! Regarde le soleil (derrière la pluie, sta mattino) en face, souris au jour que tu as la chance de voir se lever, imite en sifflant le chant des oiseaux qui commencent à s'apparier -les parades nuptiales vont commencer-, fais-toi un café pas trop fort, repasse-toi (fort) ce cd de reggae de folie que ta fille t'a gravé hier soir, et saute dans un jeans.
Le hammam t'attend, Mano aussi. Transpirer va t'exonérer un chouia. Ne néglige pas cela.
Bois de l'eau en pensant au désert. Aux vingt mille lieues sous la mer. Au ventre de C.
Va! Elle est, forcément, au bout de ton chemin. Dans ta voiture, toute à l'heure, chante à tue-tête, et crie : Buongiorno Bella!..

 

Commentaires

  • Olivier te l'a soufflé comme une bouffée de Ventoline, mais c'est toi qui l('é)cries comme un asthmatique qui serait guéri.

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