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So sweet was never so fatal

J’ai repris Othello, ce matin, afin de retrouver ce moment de la scène finale (la II, de l’acte V), où le héros shakespearien s’apprête à tuer Desdémona, qu’il accuse d’adultère avec Cassio, au prétexte que ce dernier aurait été vu avec un mouchoir qu’Othello avait offert à sa belle. Je souhaitais plus précisément retrouver cette phrase si émouvante dans la langue de William : « So sweet was never so fatal », qui devient, dans la traduction qu’en donne François-Victor Hugo (La Pléiade/Gallimard) « Jamais chose si douce ne fut aussi fatale », car j’aime ce vers. Et je suis tombé sur une réplique d’Othello en forme d'onomatopée qui m’a laissé tout chose l'espace d'un instant. Lisez ci-dessous, vous comprendrez... L.M.

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Commentaires

  • De mon côté j'en suis à l'Epilogue des "Frères Karamazov"; et j'en suis tout chose itou. C'est assez époustouflant à la relecture...J'avais un peu oublié...Presque si confus que je ne sais quoi en dire...Et d'une actualité brûlante comme tous les chefs d'œuvres hors du temps qui plongent leur plume dans les chairs vives de la vie.
    Je vais certainement poursuivre par "Les Possédés" qui m'avaient totalement éblouis.

  • Bonjour, fidèle André Boeuf. Ah, ben, les grands Russes comme celui-ci font honte à nombre d'auteurs d'ailleurs... Lorsque j'écrivais que je m'étais retrouvé tout chose, c'était à cause de ce "Humph !" pour le moins inattendu. Merci de votre lecture.

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