Perplexe
En découvrant l'existence (j'ai d'abord cru à un canular) d'une eau de parfum reprenant le titre du livre le plus emblématique de l'oeuvre de Julien Gracq, je suis resté coi (après une voiture nommée Picasso, voilà que..., ai-je aussitôt pensé, marri), puis je suis bien resté trois minutes devant la photo de ce flacon, hébété comme un macareux moine devant un galet rond. Ayant retrouvé mes esprits, je ne me suis pas résolu à appuyer sur le rectangle rouge (ci-dessous), malgré un fétichisme tenace. Frontière. L.M.