Paquito!
Je ne me lasserai jamais, je crois, d'écouter Paquito chocolatero. Et ça fait bien vingt que çà dure...
Peu de musiques sont autant capables de me transporter à la vitesse de la Lumière, de me propulser littéralement comme un Spoutnik, tchaak! En un éclair, dans une arène a las cinco de la tarde (o a las seis), baignée d'un soleil écrasant comme il faut qu'il soit et d'une atmosphère de liesse aficionada de folie. J'adore. N'en déplaise à ceux qui refusent d'essayer de "piger le coup" (no discussion is possibeule, de toute manière, sur le sujet -et c'est finalement mieux ainsi : chacun mes goûts et mes dégoûts), j'écoute Paquito, là, en écrivant cette note et je me souviens des tardes bitteroises et dacquoises de l'été qui ne s'achèvera pas, non, sans que je vois encore des toros (que l'on espère toujours nobles) et des artistas (toreo de verdad prévu avec Tomas et Castella) en septembre, de Bayonne à Nîmes en passant par Dax...
¡Suerte para todos et que Dios reparta bien las cornadas! (Joder...)
PS : je suis content! je peux enfin joindre de la musique sur mon blog! Youpi...
Castella à gauche, Tomas à droite. Le coeur au centre.
Commentaires
le danger avec Paquito c'est qu'il est cet hymne fédérateur ( pour reprendre un expression à la mode...d'il y a 15 ans), prompt à vous empaqueter hasta pronto jusqu'à vous pousser à de ces extrémités...comme de sauter, coeur léger sans voix, du haut de quelque pont bayonais... un coup à vous retrouver la mine de festaire un peu chocolat...
ps: 569 pute borgne!
Aaahh! Quelle mémoire! Je ne sais plus si paquito était joué lorsque j'ai plongé dans la Nive ce soir-là, mais en bas, j'étais marron, ma brasse coulée et le Petit Bayonne, immense! Merci du rappel. ¡Olé!